Il était une fois, des bébés

4 commentaires

  1. À l’instar d’une certaine personne qui m’évoquait ton billet lors de notre coup de fil, j’admire la façon dont tu parviens à démêler ces fils. Je n’ai jamais su raconter les histoires de mes aïeux bien qu’elles m’aient été rapportées, et puisque bien sûr les similitudes s’arrêtent là, encore moins celles de ma mère qui pourtant aurait aimé que je le fasse. Il ressort de ton récit une clarté, malgré la pesanteur évidente, dont j’espère qu’elle te guidera (si seulement c’était si simple, je sais…)

    1. Lorsqu’il y a un fil je suis comme un chat, il me faut tirer dessus ^^’ c’est vite obsessionnel (l’autisme ressort, je dirais).
      Je crois que ça va être le cas, je respire beaucoup mieux même s’il y a un effet un peu yo-yo, comme si l’air n’était pas sûr du chemin à prendre. J’imagine qu’il faut le temps que ça se pose. Je n’ose pas dire que c’est bon, plus d’allergie, mais ça me parait en bonne voie !

      Est-ce que tu as envisagé de le raconter, à voix haute, pour qu’une personne le retranscrive à l’écrit ? Parfois ça fonctionne, c’était en partie le rôle d’ailleurs avant, des écrivains publics. Je le lance comme ça 🙂

      (si tu veux tenter, pour les commentaires ?)

  2. C’est fou ce qui vient, ce qui ressort quand on commence à dire, écrire l’histoire, la connue et celle dite par d’autres qui fait écho en nous. J’ai réussi à tirer quelques fils comme ça par le passé et faire lumière sur des maux, peurs. Bravo pour ce chemin…
    Cette histoire de lait fait écho en moi quelque part…Il y a peut-être quelque chose à creuser encore. Mais je ne suis pas prête je crois. Ou bien je me dis que ça se fera quand le jour viendra.

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