Journal de juillet, 14 à 22 – Et le feu

6 commentaires

  1. Qu’est-ce qu’il y a.
    Au bout de tes pieds.
    Sur la première photo.
    (je vois un petit pied à droite et un bras ou un genou dans l’autre sens et incomplet à gauche oO)

    Tout ce que tu écris ensuite est bien trop intime pour que j’ai ne serait-ce que quelque chose à en dire, toutefois je voulais que tu saches combien je t’admire, d’avoir survécu à ce que tu as traversé, et de tenir debout au quotidien (le séjour des enfants m’a semblé terrifiant rien qu’à le lire :D)

    1. Ah. Ça. Ce sont d’autres pieds (un talon, à gauche). Ce sont les pieds des enfants qui m’ont pris mon ordinateur pour une heure de jeux chelous qui bougent dans tous les sens et font du bruit, beaucoup de bruit. Je me suis donc installée avec un chat, un livre et un casque ^^
      Je peux te communiquer la photo des enfants si tu veux, pour mieux comprendre l’image (il se trouve que j’ai fait aussi cette photo-là) 😀

      Je mets le plus intime en « caché » pour permettre de ne pas le lire si besoin (je ne sais jamais si je dois m’en excuser, de l’écrire, le besoin est le plus fort et c’est là). Certains écrivent des livres, moi je tiens un blog ^^’ (je ne sais pas si c’est mieux ou pire).
      (je te confirme le séjour terrifiant des enfants)
      Je ne sais pas quoi te répondre pardon, juste un grand ♡
      (mais je te promets qu’il n’y a rien à admirer, on travaille tous.tes très dur pour s’en sortir)

      1. Je veux bien la photo entière : ces deux pieds n’appartiennent pas à la même personne, si ? (oui j’ai des obsessions, parfois :D)

        Je lis tout, tu sais bien 🙂 Et mon intention en soulignant l’intime de tes propos n’était pas de t’en faire le reproche, tu le sais, n’est-ce pas ? ♥ Il me semblait juste que ce serait bien malavisé et forcément malhabile d’y ajouter quoi que ce soit. Mais j’adore lire ce genre de textes. Je ne sais pas ce que ça dit de moi, mais cela me fait… du bien.

        Oui, bon, on travaille pas tous aussi dur, quand même.

        1. Je t’ai envoyé un mail (au cas où je te le te dis, puiqsue j’ai changé d’email il pourrait passer à la trappe).

          Oui oui je le sais ♡ Je comprends la difficulté de parler à la suite de ce type de textes, du coup ce n’est pas plus mal qu’il soit au milieu d’autres choses. Et je suis comme toi, j’aime lire ce genre de textes, l’intime, ce qui va en profondeur (je ne sais pas non plus ce que ça dit de moi, sinon que je vais toujours plus loin, peut-être, parce que oui les textes des autres apportent toujours une profondeur pour soi).

          Tu sais quoi, je n’y avais jamais songé. Que peut-être, je travaillais dur. J’ai eu un déclic à 23 ans et je ne me suis jamais arrêtée de creuser (globalement ; ce n’est pas tout à fait juste mais l’idée y est).

  2. Tout ce qui est derrière ce petit triangle qui pivote…
    Pareil que Kalys, j’aime lire le cheminement de la psyché qui cherche ses angles morts dans la généalogie et les rêves, même si je n’aurais pu que te souhaiter une histoire beaucoup moins dure à traverser.
    Les toutes dernières lignes de ce billet sont très belles en tout cas, cela donne l’impression d’une belle distance parcourue avec le temps, contemplée avec apaisement. (J’en souhaite autant à tes oreilles, d’apaisement – les cris et le bruit sont si épuisants.)

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