Journal de mars, 1 à 9 – Les yeux fermés, presque

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  1. Incroyable, ce live de Kite, merci ♥ J’adore cette chanson et là elle prend une ampleur incroyable, le son résonne d’une autre manière, c’est très beau !
    (oh ! t’as vu, y’a un live complet ici. Y’a des gens qui patinent avec des sabres lasers à environ 34min et je trouve ça aussi dingue que beau ^^)

    Bon courage pour le cosplay, vous allez y arriver ♥

    1. Je l’adore aussi, et effectivement sur ce live elle est encore plus puissante.
      Je n’avais pas vu le live, merci ^^ C’est fou c’était sur une patinoire !!

      On y est arrivé, mais c’était rude 😀

  2. Grace à toi j’ai découvert ce qu’était le Cosplay – je sais je vis loin parfois. J’espère que ça a été une réussite!!

    Si il y a bien un espace où tu peux laisser tes peurs s’exprimer c’est ici. Je crois même qu’il faut oser les poser quelque part. Pas pour se libérer, mais pour vivre et ça déjà, c’est un état en soi.

    1. Génial ça ^^ Oui très (tu as un petit compte-rendu en fin de l’article sur la fabrication du cosplay lui-même), Kira s’est régalée !

      C’est intéressant que tu poses ces mots-là, « oser les poser quelque part ». Je me questionne justement sur la pertinence de poser des mots que j’ai écrit dernièrement, sur mon rapport au corps, et je prends tes phrases dans un ensemble plus large, est-ce qu’ici je peux tout mettre ? Sans doute…
      Merci de tes mots.

      1. J’ai le sentiment qu’un espace d’expression est un espace d’expression libre. Il faut (dans le sens où c’est essentiel pour soi et non obligatoire) avoir quelque part où se livrer sans filtre et sans peur. Le monde ne nous le permet pas toujours. Belle fin de journée.

        1. Tu as entièrement raison. J’ai du mal à le mettre en pratique ces jours-ci, et ça m’interroge sur ce qui me traverse dans ce rapport au corps et comment l’écrire. Mais oui tu as raison. Merci <3

  3. Je découvre la vidéo de Jeanne Benameur alors que ma voisine de métro lisait l’un de ses livres hier, ça m’a fait sentir proche d’elle sans lui parler. Cela fait bizarre de voir cette autrice, je n’avais jamais pensé que je pourrais la voir, tout à l’envie de la lire. « elle me donnerait presque envie d’écrire (vidéo) » Est-ce de la malice ? Ou as-tu vraiment l’impression de ne pas écrire en écrivant ce journal ?

    (J’ai du retard dans ma lecture de ton blog, j’espère que le down est remonté depuis.)

    1. Quelle belle synchronicité ! J’aime beaucoup.

      Aucune malice.. Tu vois quand tu dis (en substance) qu’avoir écrit ne suffirait peut-être pas, qu’il faudrait que ce soit publié ? Je pense qu’il s’agit d’un principe identique. N’est écriture qu’une histoire, une qui aurait un début un milieu une fin, quelque chose qui se raconterait et se publierait ensuite. Là, je pourrais dire que j’écris.

      (il est remonté 😀 )


      1. C’est étonnant comme ça m’étonne chez les autres et pas chez moi, cette manière de réserver « écrire » à une écriture validée par une maison d’édition. Des fois, je me dis qu’on devrait s’inspirer des Anglo-saxons qui parlent de leur « art » pour tous leurs petits travaux créatifs, et pas seulement pour l’art pouvant avoir une reconnaissance officielle. Je trouve ça chouette cette manière de replacer le geste créatif au centre et d’évacuer son « niveau » ou sa « qualité » en périphérie. Mais le syndrome de l’imposteur (et probablement un besoin de validation extérieure dans mon cas)…

        J’aime beaucoup lire ce que tu (n’)écris (pas) en tous cas. ;p

        (Ouf)

        1. Ça me fait souvent ça (chez les autres vs pour moi) ^^’
          J’aime beaucoup cette approche, bien plus saine et apaisée. Je vais essayer de le garder en tête, de l’appliquer, ça serait plus doux. J’ai mille possibilités (presque) de le recentrer sur l’acte, en plus !

          Oh, merci beaucoup 🙂

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