Journal de février, 5 au 7 – Montagnes russes en famille

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  1. Tes mots sont à la fois brutaux et touchants… on sent à quel point la toxicité des secrets peut faire des ravages. J’espère que tu es bien rentrée et je te souhaite plein de courage pour digérer cette nouvelle aux dents noires…

    1. Je ne voulais pas la brutalité, navrée..
      Je suis bien rentrée et j’éloigne le tout de moi, je crois que je verrai plus tard. Pour une fois.

      1. Oh non mais ne t’excuse pas ! c’est ce qu’il m’a semblé que tu as pu ressentir à ce moment-là et les mots viennent comme ils viennent

  2. C’est fou, toute cette violence latente, dont on ne sait pas si elle est pire tue ou verbalisée… De ne pas divulguer la nature de la nouvelle tenue longtemps secrète ne le rend que plus criant encore. (Et la petite fille trop silencieuse, c’est glaçant, de la manière dont tu me soulignes.) Cela me désole que tu aies du / doives endurer tout cela…

    1. Avec ma famille, le mieux c’est juste de se tenir loin. C’est ce qui m’empêche de voir ma grand-mère plus souvent, c’est cher payé.
      La petite, je ne sais pas comment faire. Je la vois au mieux une fois par an et ça ne change jamais..

    1. Oui, et je me dis que si je connais celui-ci, combien d’autres encore qui ne me sont pas parvenus. Je ne sais pas comment elle va s’en sortir, mais je lui souhaite que ça arrive vite. Survie, comme tu dis…

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