Journal de février, du 1er au 4 – Fuck them all, au moins

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  1. Pas doux, les mots, même si c’est ceux que tu as demandés. La vie cingle et brûle assez, je sais, mais je me souviens que tu t’efforces à, et j’ai envie de te dire que parfois la colère est légitime. Reposante, jamais, mais légitime.

    Je suis heureuse que vous ayez pu vivre un moment de partage autour de ce court-métrage. Quand je l’ai vu j’ai pensé à la façon dont j’aurais été si j’avais eu des enfants, la façon dont je suis peut-être avec ceux qui ne sont pas les miens, et à ma mère dans ses silences.

    Je te souhaite cette cassure puisque tu la conjures avec un subjonctif, à moins qu’à la phrase manque le début. Dans tous les cas je te soutiendrai de toutes mes forces – et tu m’as dit un jour croire aux fantômes alors je suis sûre que tu peux croire aussi aux présences distantes et aux silhouettes amies qui tentent de se frayer un passage dimensionnel jusqu’à toi. Mes bras sont à portée si tu le souhaites, penses-y et puise-y ce dont tu as besoin.

    1. La colère légitime.. c’est fou comme j’ai du mal, même avec elle. Je ne la laisse jamais s’installer longtemps. Mais oui tu as raison.

      Il est superbe ce court métrage, il bouleverse tellement il nous parle en profondeur. Je ne doute pas de la manière dont tu es avec ceux qui ne sont pas les tiens, en tout cas <3

      La cassure venait avec la phrase précédente, cassure écrite pour que le voyage, le séjour, le retour, restent ensemble sans se mêler ni à ma vie d’avant lui, ni à ma vie ensuite. Au final il sera lié définitivement à la suite, mais j’ai séparé les écrits malgré tout.

      Oh oui j’y crois, aux présences amies distantes ♥ merci infiniment

  2. Il faut peut-être laisser la colère être parfois, s’exprimer même si ça n’est ni facile à vivre, à être.

    On raconte ce qui vient, ce qui se dit, ce qui se sent et le reste, et bien reste un entre soi ou bien ne s’exprime que dans un langage qu’on ne sait pas toujours.

    1. Compliqué la colère, quand elle arrive, elle me dévore et elle fait mal.

      Oui ailleurs, parfois. Et c’est bien ainsi, c’est vrai 🙂

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