Samedi 7 décembre – 16,7° et dix-neuf ans
Au réveil, nous attendent trois cadeaux dans le calendrier de l’Avent en bois (acheté il y a très longtemps pour les filles, lorsqu’elles étaient encore enfants et qu’elles voulaient des jouets, elles grandissent c’est dingue) : LeChat y a glissé trois vernis à ongles. La surprise est de taille, il est heureux et nous aussi. Nous ne nous y attendions pas, il est très fort. Je choisis le plus pâle, et les filles ont leur premier vernis en propre. Bonheur intense chez Chouette qui décide plus tard dans la semaine, qu’elle va les collectionner pour la beauté des couleurs (à côté de sa collection de boulons et autres vis, ça va être adorable).
Je réalise entre le caddy et la caisse (mais pourquoi là, pourquoi pas assise à la médiathèque où c’est tout de même bien plus classe), que nous avons laissé passer notre date d’anniversaire de couple. L’occasion de me rendre-compte – j’ai fouillé puisque la vie m’échappe – que je me suis retrouvée au cœur d’une autre date problématique : j’ai un agenda d’anniversaires, naissances, morts, mariages, accidents (il me permet de saisir l’invisible, les répétitions, les échos). Le 3 décembre, la mort de ma mère, le 4 décembre la deuxième cérémonie pour la mort de S. en 2004 (dernière fois où j’ai vu ma mère, elle n’avait pas été invitée et n’était même pas censée savoir qu’il était mort), et le 8 l’a enterrée elle. J’imagine que je peux saisir pourquoi le 5 a plongé dans les abysses (si tu te demandes pourquoi LeChat n’y a pas pensé non plus, sache qu’il est très mauvais en dates, a un tda assez marqué sur certaines choses, et la tête toujours ailleurs, de fait).
C’est la deuxième année consécutive qu’on se fait avaler la date par la mort de ma mère.
On fera mieux l’année prochaine ? Ça serait bien quand même…
Dimanche 8 décembre – 16,6° dans la maison
Si je suis assez déconnectée de mon téléphone (aucune volonté de m’y investir), l’ordinateur, lui, me résiste rarement.
J’aide sur deux heures et demi et par téléphone, mon filleul au désespoir, CCleaner a nettoyé de manière trop efficace son pc et il a perdu la sauvegarde d’un jeu en ligne très important (qui a la malencontreuse idée de s’enregistrer sous forme de cookies, je suis consternée). Visiblement le problème est suffisamment connu pour que la communauté propose régulièrement de donner ses propres cookies (non pas les biscuits, mais ils devraient à ce stade). Ce qui est bancale puisque tout le monde n’en est pas au même endroit. J’ai tenté un tas de solutions intermédiaires (pas de sauvegardes de l’ordi), toutes ont fait chou blanc. Finalement c’est Recuva (appartenant à CCleaner, je comptais donc beaucoup sur lui pour réparer ses propres bêtises) qui nous a sauvé, téléchargé depuis un autre pc bien sûr et mis sur clé. Je le transmets si ça devait vous arriver : lorsqu’il propose toute une liste (images, vidéos, musique, textes mais pas les cookies évidemment) il faut cliquer sur « annuler », ça ouvre directement le logiciel, on analyse le pc, et quelque part dans la liste se trouvent les cookies perdus et encore intacts si on a de la chance (un des cookies était abîmé, je ne l’ai pas pris, il a donc récupéré son jeu à 95%) ; il faut juste savoir précisément ce qu’on cherche (et pour les réinstaller, prenez une capture d’écran pour faciliter les manœuvres, les cookies dans ce cas devaient être remis à plusieurs endroits différents, et Recuva s’est trouvé incapable de les remettre en place seul).
Pas peu fière.
Je lui montre aussi la manœuvre simple depuis Firefox pour nettoyer ses cookies tout en conservant des intouchables, histoire que.
J’ai son admiration pour quelques mois, et celle de sa mère pour la vie entière : « mais comment veux-tu après, que je ne te pense pas capable de sauver la planète ?« . Si seulement.
J’enchaîne plus ou moins avec deux heures de conversation avec Blanche, puis plus tard les enfants. Je termine la journée dans un tel état d’épuisement, je n’arrive plus à parler et mon cerveau est comme grippé – c’est étonnant.
9 et 10 décembre
Il n’y avait sans doute rien à dire. De plus. Sur ces journées.
Elles ont existé (c’est un mérite en soi).
11 décembre – 16,3° au lever
Nous sommes sur le départ. Il y a ce froid dehors qui glace les sangs et ne donne pas l’envie de mettre le nez dehors, même avec une écharpe. LeChat pourtant, tarde à revenir, alors je prends mon courage avec moi et je vais le rejoindre dans la cave de mes beaux-parents (enfin, pardon mais je reste à la porte, personne ne me fera rentrer là-dedans, l’odeur est insupportable). Je le découvre en train de se battre avec la valve de la roue avant de ma trottinette : le pneu est sous gonflé, la valve s’est échappée dans le pneu, un gros mot passe entre ses doigts et il est impossible de résoudre le problème, là, en trois minutes. Je décide pour lui, parce qu’il peine à lâcher l’affaire et qu’il se met en retard : je rentrerai à pied.
À la fripe nous travaillons au ralenti, le froid s’agrippe à toutes. O. fait une remarque sur les boutons de mon jean qu’elle trouve jolis et franchement, elle est très diplomate, elle n’a pas dit un mot sur les tâches d’huile qui constellent tout autour. Je lui explique, assez gênée, que je les avais cousu à l’origine pour cacher d’autres taches… on rigole bien. C’est avec un profond soupir (et une évidence certaine qu’il faut que je m’y atèle) que je regarde la pile des pantalons. J’en attrape un noir, il parait à ma taille, je l’emporte. Pour un choix rapide je suis contente de ses joliseries sur le tissu, mais je n’aime pas les nouveaux pantalons : il faut toujours faire un ourlet – mais là je pense qu’il y a besoin que je m’y mette.
Il y a peu de travail (les gens aussi ont froid et nous donnent moins de choses), je lance le signal de départ vers 11h et je repars à pied sous un soleil givré mais agréable.
Je découvre (par hasard, je le promets) le festival Steampunk au Luxembourg, donc maintenant je rêve de m’y rendre évidemment. Je pense qu’il me faudrait un mécène, il m’offrirait des voyages incroyables à travers le monde et j’en ferais des carnets de voyages très beaux, des comptes-rendus magiques, des photos féeriques, et ça ferait rêver le monde qui en a bien besoin…
N’hésitez pas à laisser un message ici ou dans l’onglet Questions pour un contact direct, j’étudierai vos propositions avec beaucoup d’attention.
Troisième fois cette année (contre seize l’année dernière, mais c’était avant l’enterrement) : appel de ma tante-presque-douce (qui devait le faire il y a un mois, jour pour jour, mais ne l’a jamais fait), qui me dit que Brigitte a le sac Dior qu’elle rêve d’avoir (okay) (mais il est moche, t’es sûre ?) ou encore que tout de même, il faudrait que je pense à acheter un chauffage. Oui, ben. Commençons par vendre la maison et j’aurai l’argent pour une vie décente.
Une information intéressante finalement, la-dite maison a enfin un toit tout neuf (payé par ma grand-mère qui en a l’usufruit), plus de risque d’infiltration voire pire (mais ça, je l’ai su parce que l’info lui a échappé, elles ont souvent une vie propre avec elle). Je suis propriétaire au tiers, mais le suis-je vraiment ?
12 décembre – 16,2°
Je boucle les petites choses de Noël pour mon filleul (je me suis régalée comme une enfant à dénicher entre autre des boutons peints) et, là c’est bien moins drôle, je termine dans la foulée la marmelade de gingembre (je suis au désespoir).
Les émotions, ces montagnes russes.
Je fais une découverte incroyable (avec le fond de teint qui cache les fausses tumeurs, il faut croire que c’était l’année) alors que je viens de me casser un ongle, juste sur le côté de l’index. Un minuscule morceau, avec toute la pénibilité associée qui s’assure de bien te faire passer de sales moments d’accrochages dans la moindre fibre de ton pull (mais qui ne montre quasi rien à l’œil nu). J’attrape les ciseaux, je cisaille donc puis je lime, le tout vaguement, sans y penser vraiment. Lorsque je regarde mon doigt, je lui trouve un aspect effilé que je ne lui connaissais pas… j’ai taillé sur le côté, sans pratiquer sur tout l’ongle. Je découvre donc, toujours à quarante-sept ans, qu’on peut donner une forme à ses ongles, que ce n’est pas « naturel » chez les autres, que tout le monde triche et sait qu’il ne faut pas les couper en carré mais qu’on peut créer, depuis chez soi, un bel effet de finesse.
Dont acte.
Je ne suis pas très féminine, mais si je peux jouer avec les codes hein.. Par contre est-ce qu’on peut m’expliquer pourquoi on ne reçoit pas des cours pour ça, vers l’adolescence ? Intitulé, je ne sais pas, « Codes féminin ». Mais quelque chose d’accéléré hein, sinon je n’aurais rien écouté, je me connais. En une heure il doit y avoir moyen d’informer et de tout caser : « avec du fond de teint tu caches des disgrâces et autres problèmes de santé, effiles tes ongles, pour le vernis tu protèges avec une base, etc ».
Vous me cachez combien d’autres secrets comme ça ?
13 décembre – 16°,1 (la chute est constante, c’est fou)
Autant je les aime individuellement ou dans les airs lorsqu’ils volent magnifiquement ensemble dans de grands mouvements, autant là, non. Les étourneaux font un tel boucan à discuter sous les fenêtres, je dois mettre le casque pour les rendre silencieux. Les arbres ressemblent à des sapins déplumés et décorés de boules noires vaguement sautillantes. Du plus bel effet, en mode silencieux.
Je reprends mon carnet délaissé depuis des années. Une envie folle de scrapbooking m’a attrapée, mais impossible de remettre la main sur les rares autocollants que j’avais reçu il y a deux ans. À force de m’obstiner, je retrouve pourtant des lettres, des papiers, je n’ai pas encore tout mais je retrouve le plaisir du vintage et de la mécanique (trop peu) évidemment, mais aussi des champignons (je les avais oublié), et même un masking tape en dentelle.
L’odeur des biscuits empli la maison d’une douceur sans pareille, je crois que ce sont mes meilleurs cookies.
Le calendrier de l’Avent a une drôle de surprise à nous offrir, une qui met des étoiles dans les yeux et les doigts sur l’appareil photo. Une pétillance joyeuse qui m’était inconnue. J’en profite pour tester mes nouvelles connaissances de photo de nuit juste avant l’explosion – photos, à venir.

14 décembre – 16°
Je boycott définitivement et officiellement le café littéraire, cela fait un an à quelques jours près que je n’y ai pas mis les pieds pour diverses raisons très valables (mort, deuil, hernie, LeChat travaille, douleurs qui me rendent incapables de me déplacer). J’ai déjà bien trop d’ouvrages à lire, et il est une évidence que je ne suis pas sociable. Si j’aime beaucoup l’après, je n’aime pas l’avant ni le pendant – ou plus sûrement, prendre la parole, sociabiliser, rester assise deux heures. Aevole m’a rapporté une conversation d’avec son psy : « J’ai l’habitude de demander à mes patients ce qu’ils font comme sport. Ils me répondent souvent la course à pied. Je leur demande s’ils aiment courir ou s’ils sont contents après. Ils me répondent très souvent qu’ils sont contents après. Donc… ils n’aiment pas courir« .
Je n’aime pas le café littéraire.
La machine à coudre n’a pas vu la lumière depuis que je suis installée ici, je crois. C’est ce qu’essaye de me dire avec l’énergie du désespoir la tonne de poussière infiltrée partout malgré une housse en plastique léger et une en dur. Le moindre interstice de la bête en est recouvert, jusqu’aux pages du livret qui a accumulé entre certaines pages, quelques moutons. Je suis consternée par un tel abandon, alors que je l’aime tellement. Je passe donc une demi-heure à traquer les pelures, j’y vais même au pinceau pour l’intérieur, et elle ressort comme neuve (et avec un peu d’huile dans ses rouages).
Je passe presque autant de temps à me souvenir comment tendre les fils, c’est scandaleux ce que la mémoire oublie. Lorsqu’enfin je m’en sors, je recouds la robe rouge où la dentelle s’échappait allègrement, les deux manches pour ne pas avoir à y revenir (elle se trouait, de toute façon). Ma belle-mère l’avait cousue avec un fil nylon et il n’a pas tenu, il s’échappait des tissus et peut-être il s’agissait pour lui de faire plaisir à Chouette : il lui faisait mal. J’en ai retiré tout ce que je pouvais, la robe est impeccable.
Puisque j’y étais, j’ai attrapé le nouveau pantalon, épinglé le bas, découpé, cousu. L’ourlet est fait, je ne sais pas pourquoi j’en fais tout un plat chaque fois. Du coup j’ai continué sur ma lancé et cousu l’ourlet d’un autre pour l’été, qui m’attendait depuis un an.
Dimanche 15 décembre – 18°, on a allumé le four
Je ressors la machine et termine la pile de couture en attente depuis la nuit des temps : j’ai désormais deux jeans supplémentaires (trois au total, deux noirs et un bleu foncé) et deux pantalons plus légers. Il me restera pour un autre jour à coudre deux gants de toilette et des éponges pour la cuisine (les nôtres sont déchiré(e)s, troué(e)s, ça devient ridicule de s’en servir. Un peu ennuyée tout de même de ne plus avoir de surjeteuse pour la solidité des coutures et la facilité d’exécution… il faut vraiment que je mette de l’argent de côté pour me la payer – un jour.
Évidemment Corail passe et repasse entre la machine et moi, joue avec les épingles, patoune sur les vêtements et repart dès que j’attrape le téléphone pour la photographier. J’arrache celle-ci, mais elle est déjà plus ou moins en mouvement.
Je m’aperçois que c’est la première fois que je couds avec une bestiole dans les pattes…


Pendant que je couds, LeChat répare la roue de la trottinette (dont la valve reste difficilement accessible) puis il vont chercher les branches du « sapin » et reviennent effectivement avec des branches mais aussi… une rose. Probabilité qu’un rosier sauvage (l’est-il ?) pousse à côté de notre future arbre de noël ? Elle sent extrêmement bon et fort, entre la rose et une vague fragrance de pamplemousse.

Le soir j’entame la nouvelle saison d’Arcane avec un délice incroyable, j’ai rarement vu un animé avec une telle qualité d’image et de scénario, les musiques sont tout aussi dingues. Je crois qu’il va falloir un article rien que pour lui.
(clique sur le gif)
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Nous non plus on se rappelle jamais notre date d’anniversaire…
J’aime bien le morceau que tu as mis en première vidéo.
Je coupe pas en carré mais en ellipse, et j’ai beau savoir qu’on peut donner plein de formes aux ongles, je ne comprends pas comment on fait ça correctement. Et non, jamais, pas de cours de « codes féminins », j’aime à penser qu’on peut être une fille qui n’en a rien à cirer 😀
haha moi j’aime ni courir ni l’après 😉
Je crois que l’importance n’est pas si grande, et c’est bien ainsi !
J’ai dit carré mais c’est surtout le rendu final que ça donne, une sensation un peu figée, droite (alors que je tourne en arrondi léger, en réalité). Je vais jouer un peu avec l’idée effilée, mais pas forcément longtemps, je déteste m’occuper de mes ongles, c’est assez « douloureux » côté sensation de couper ou limer.
Aaaaah mais je suis une fille qui n’en a rien à cirer 😀 Juste que parfois, j’aime bien jouer avec les codes (mais pour ça, il faut les connaître..)
Moi non plus ^^
Et du coup j’en oublie d’écrire que ce « faut que j’aille emmerder quelqu’un » résonne assez fort pour moi, là tout de suite 😀
Oups 😀
7 décembre. La mention juxtaposée de la collection de vernis et de boulon/vis me donnerait envie de voir ce que ça donne, des boulons vernis (un départ de sculpture ?).
8 décembre. Wow. Et brrr pour la température. Ça doit être usant à force, de vivre toujours en dessous de 18-19° :s
12 décembre. Je me coupe souvent les ongles en ellipses pour allonger visuellement les doigts… et le fais de préférence après la douche ou encore mieux, après douche + lavage de cheveux : après avoir trempé, l’ongle est moins dur et se coupe mieux, sans cette désagréable impression de cassure. Sinon, dans les cheat codes féminins auxquels je peux penser : se sécher les cheveux la tête en bas pour leur donner plus de volume / les tresser quand ils sont encore humides pour les faire onduler (bon, surtout en été) / porter des vêtements cintrés à la taille plutôt qu’aux hanches pour avoir visuellement de plus longues jambes / mettre du mascara pour ouvrir les yeux et compenser l’effet rétrécissant des lunettes quand on est myope (je ne me maquille plus depuis des années) / mettre une touche de crayon blanc dans le coin interne de l’œil pour l’illuminer / étaler le fond de teint vers le cou pour ne pas se retrouver avec un masque / mettre du blush un peu plus foncé sous les pommettes pour accentuer le modelé du visage… À l’écrire, je ne saurais dire si je trouve tout ça triste ou amusant.
15 décembre. Arcane power !
Sincèrement moi aussi ^^ J’y ai pensé aussi en l’écrivant (dommage, elle n’est pas tentée).
On a décidé de placer le curseur à 18°, donc on allume le four ouvert et ça chauffe assez bien (les chambres donnent directement, sans couloir, dans la cuisine/salon). Je crains la facture d’électricité, donc on verra si c’est faisable ou non les autres années. En dessous de 18°, c’est atroce pour mes douleurs, donc on fait ce qu’on peut.
Alors là.. bluffée (tu en sais des choses !). Je retiens les ongles après la douche+cheveux, c’est vraiment top ça. Pour les cheveux tressées j’avais eu l’info il y a 20 ans, mais ça casse mes pointes donc j’ai arrêté ; à la place je les attache en chignon (pour éviter que mon mari ne tire en dormant dessus, mais du coup ça fait un effet vagues que j’aime beaucoup). Pour le reste.. je vois bien l’intérêt, mais je ne me maquille pas assez pour ça je dirais. Je dois dire que comme toi, j’oscille entre le triste et l’amusant ^^
Désolée de cette question (j’ai sans doute raté un épisode) mais que se passe-t-il avec ton chauffage ? ou son absence visiblement ?
J’aime l’association de collection vernis à ongles/boulot et vis !
On n’en a pas ^^’ La maison a été terminée en 2022. Comme elle devait être passive, le chauffage n’était pas nécessaire. Mais l’argent manquant, on a fait des choix (comme du double vitrage au lieu de triple à certaines fenêtres, grosse erreur) qui mènent à la situation actuelle : besoin d’un chauffage.
On en a acheté un électrique (d’occasion) l’année dernière , mais il a gonflé notre facture de manière violente, pour chauffer quasiment rien. Cette année on tente le four pour maintenir à 18° et ça marche bien (LeChat a calculé 0.90 € de l’heure, ce qui représente une fois par jour). Système D. Soit c’est viable avec le four et on laisse comme ça, soit on achètera pus tard un poêle à bois ou assimilé.